
Lors de son fameux discours de Grenoble, Nicolas Sarkozy avait proposé que les personnes coupables d'actes de violence à l'encontre de policiers ou de personnes représentant une part de l'autorité républicaine soient démises de la citoyenneté française.
Ce discours a aussitôt fait réagir les opposants de tous bords, ce qui est logique.
Mais le plus fort est que les attaques viennent aussi de la majorité présidentielle. Sans compter l'opposition, logique elle aussi, de Dominique de Villepin, on notera les reproches émis par l'ancien Premier Ministre Alain Juppé, et l'ancienne ministre du Logement, Christine Boutin.
La question de la nationalité ne risque-t-elle pas de lancer plus tôt que prévu les premières salves d'une campagne présidentielle qui s'annonce à couteaux tirés au sein de l'U.M.P.?
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