
Le leader de Debout la république était en congrès, ce dimanche, à Paris. Il en a profité pour annoncer officiellement son entrée dans la campagne présidentielle.
Profitant des dissensions entre les différents courants de l'UMP, et le recul du MPF de Philippe de Villiers, le député de l'Essonne se pose en alternative à Nicolas Sarkozy, se déclarant également opposé au PS, réunissant les deux partis majoritaires dans le terme d'"UMPS", forgée par le Front National.
Farouchement opposé à la mainmise des institutions européennes sur le fonctionnement de notre pays, le candidat s'est dit favorable à une sortie de la zone euro, et à un retour aux frontières, tant dans le domaine économique, que pour répondre au délicat problème de l'immigration.
Il a aussi déclaré faire de l'emploi sa priorité pour 2012.
Il espère bien entendu pouvoir cette fois réunir les 500 parrainages nécessaires à l'accession au premier tour de la présidentielle. Rappelons qu'en 2007, il ne lui en avait manqué qu'une cinquantaine pour y participer.
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