Cet homme valait mieux que tous ses ennemis ensemble ; mais je n'ai jamais approuvé ni les erreurs de son livre, ni les vérités triviales qu'il débite avec emphase. J'ai pris son parti hautement, quand des hommes absurdes l'ont condamné pour ces vérités mêmes.
(Voltaire - l'Encyclopédie)

jeudi 30 décembre 2010

André Gérin veut un candidat communiste


Le député lyonnais a fait savoir par une lettre adressée à la presse qu'il souhaitait que son parti engage un candidat dans la campagne présidentielle, au-delà des accords passés avec le Parti de Gauche.
Cette candidature, qu'il considère comme "une nécessité impérieuse au regard de la situation nationale et internationale" est la seule capable d'opérer "une rupture avec le capitalisme prédateur" selon lui.
Si celle-ci, suivant les règles du parti, et donc avec un appel à candidature lancé par l'assemblée des secrétaires de sections, n'était pas mise en place, André Gérin a rappelé qu'il n'hésiterait pas à se présenter en son propre nom, et que sa campagne serait sans aucun doute suivie par de nombreux camarades.
Depuis déjà de nombreux mois, l'alliance au sein du Front de Gauche est fragilisée par l'attitude conservatrice d'une partie des communistes qui refusent d'accepter que Jean-Luc Mélenchon les représente lors de l'échéance de 2012. Avis de tempête annoncé pour la nomination du candidat du Front de Gauche semble-t-il.

jeudi 23 décembre 2010

Maxime Verner, le plus jeune candidat à la présidentielle


En effet, ce jeune rhodanien de 21 ans a déjà un passé politique, et un mouvement important derrière lui.
Il a, en effet, milité pour l'abaissement de l'âge d'accession au titre de député, en créant son association "Candidat à 18 ans", jugeant qu'il n'y avait pas des citoyens capables, car plus âgés, et d'autres frappés d'impossibilité, de par leur jeune âge. Pour Maxime Verner, certains jeunes de 18 ans ont bien la morale et le sérieux de certains plus âgés, pour représenter les Français à l'Assemblée Nationale.
Lui-même candidat à Bron lors des dernières municipales et cantonales, à seulement 18 ans, a recueillis un soutien éloquent des citoyens de la commune (environ 4% des votes exprimés), pour qui son initiative n'avait rien de folle.
Soutenu par différents hommes et femmes politiques, dont Martin Hirsch, il est à la base du projet de loi voté aujourd'hui, et qui abaisse l'âge légal pour être candidat à la députation à 18 ans, au lieu de 23 auparavant.
Il a aussi laissé entendre qu'il serait candidat en 2012 pour faire entendre la voix de la jeunesse. A suivre.

mardi 21 décembre 2010

Débat : Sortir de l'Euro ?



Ces derniers jours, cette question est sur toutes les lèvres de nos politiques, mais aussi des éditorialistes, et cela même chez nos voisins européens.
Faut-il sortir de l'Euro, et retrouver le franc pour retrouver la croissance après laquelle notre pays court depuis des années ?
De nombreux hommes et femmes politiques, parmi lesquels des candidats déclarés ou supposés à la présidentielle de 2012, se sont déjà exprimés sur ce point.
Et vous, quel est votre avis ?
Nous vous soumettons cette question qui fait débat. A vous de commenter, selon vos idées, ce débat.

jeudi 16 décembre 2010

Appel général à l'unité


De toutes parts, ce mot résonne ces dernières semaines, de l'extrême gauche à l'extrême droite.
Chaque parti a sentit, depuis la victoire du candidat Sarkozy en 2007, que c'est l'unité de la droite derrière son candidat qui avait joué un rôle déterminant dans la campagne. Aussi, à chaque fraction du paysage politique, l'unité est devenue une nécessité dans l'optique de 2012.
Mais cette volonté semble bien souvent très difficile à mettre en place dans la réalité.
Pour le Front de Gauche, l'unité est essentielle, mais il semble inconciliable de parler d'unité quand l'ultra-médiatisé leader du Parti de Gauche, Jean-Luc Mélenchon, semble attirer un grand nombre de sympathies sur son nom, alors que les membres les plus orthodoxes du PCF admettent mal que ce ne soit pas un candidat de leurs rangs qui les représentent à la présidentielle.
Pour le PS, l'unité tant démontrée par la première secrétaire s'efface dès que le terme de primaire est lâché. Chacun prend position, et s'il ne semble pas aujourd'hui que de nouveaux candidats puissent apparaître dans cette primaire interne, aujourd'hui, chacun commence à affirmer son soutien à tel ou telle candidat(e), déclaré ou non. Ainsi, a-t-on appris ces derniers jours que Henri Emmanuelli soutenait une candidature de Martine Aubry, et que la sénatrice PRG de Guyane, Christiane Taubira, soutenait Arnaud Montebourg (après avoir soutenu Ségolène Royal en 2007).
Au centre, l'unité voulue par Hervé Morin semble peiner à se mettre aussi en place, Jean-Louis Borloo prenant son temps pour décider s'il joue contre, ou avec Sarkozy pour 2012. Dans le même temps, ce dernier ouvre, de plus en plus, les pourparlers vers le Parti Radical de Gauche de Jean-Michel Baylet.
A droite, malgré les engagements répétés d'unité de Jean-François Copé, nouveau patron de l'UMP, et du Premier Ministre, envers le chef de l'Etat, des voix se font entendre, et des ragots circulent, qui tendraient à prouver que, la popularité de Nicolas Sarkozy étant ce qu'elle est, sa candidature en 2012 n'est peut-être pas la plus sûre solution de l'emporter pour la Majorité Présidentielle.
Enfin, au FN, malgré une volonté affirmée, au début de la campagne interne pour la présidence du mouvement, de se montrer courtois et respectueux de l'unité du parti, la campagne se joue de plus en plus à couteaux tirés, et des clans se forment au sein du Front National, séparant les pro-Marine, et les pro-Gollnisch. Ce dernier a d'ailleurs toujours affirmé qu'il accepterait de soutenir la candidate la plus naturelle à la présidentielle de 2012, s'il était élu président du FN, alors que sa rivale considère que seul le président du parti peut être candidat à l'échéance présidentielle.
Jusqu'aux écologistes de Cécile Duflot qui, malgré l'unité affichée lors du congrès fondateur de Lyon, commencent à se déliter, et à reprendre les guerres intestines qui avaient tant coûter aux Verts, s'il on en croit Jean-Paul Besset, récent démissionnaire à la tête du mouvement.
Alors, où se cache-t-elle l'unité ?

dimanche 12 décembre 2010

Stéphane Guyot, candidat pour la reconnaissance du vote blanc


Le Parti du Vote Blanc a décidé de faire entendre, lors de la prochaine présidentielle, la voix de ceux que l'on oublie trop souvent : ceux qui votent blanc.
Vote de contestation, il reste encore aujourd'hui peu reconnu, et assimilé à l'abstention, ou au vote nul.
Or, le fait d'aller voter montre bien la volonté pour le citoyen de vouloir accomplir son devoir civique, mais son profond désaccord avec les alternatives qui lui sont proposées ou de la politique en place. Le vote blanc peut aussi être le moyen d'expression de ceux qui ne ses sentent pas représentés par les candidats en présence.
Souhaitant faire entendre cette vérité, et donner un visage à ce mécontentement, Stéphane Guyot entend aussi, par sa candidature, permettre que des citoyens qui s'abstiennent ou ne vont plus voter, puisse reprendre le chemin de l'isoloir et montrer clairement leur rejet de la politique française.
"Si certains rejettent et combattent le système, d’autres, et nous en sommes, choisissent de l’utiliser pour le modifier de l’intérieur et le faire évoluer vers plus de démocratie et d’écoute des citoyens" annonce-t-il.
Fort aussi du poids croissant pris par les votes nuls, blancs ou abstentionnistes, Stéphane Guyot sait que son action peut rapidement prendre une ampleur nationale propre à faire évoluer la reconnaissance du vote blanc dans les débats électoraux.
"Nous ne défendons aucun programme ni aucun candidat" assure-t-il. Seule la reconnaissance du vote blanc comme un rejet de la politique est l'objectif du PVB.

vendredi 10 décembre 2010

L'union au menu du dîner républicain de Jean-Louis Borloo


Jean-Louis Borloo avait convié hier soir près de 800 personnes pour son "Dîner Républicain", avec en toile de fond, la célébration du 105ème anniversaire de la loi sur la laïcité, marquant la séparation de l'Eglise et de l'Etat, initiée à l'époque par le Parti Radical.
Mais, dans ces festivités, les fins politiques auront notés aussi la volonté de l'ancien Ministre de l'Environnement de réunir les différentes composantes du centre autour de lui, sans doute dans l'optique d'une éventuelle candidature pour 2012.
Même s'il n'a pas ouvertement abordé le sujet, les discutions semblent déjà bien avancées avec Hervé Morin, le leader du Nouveau Centre, qui, bien qu'absent, s'était fait représenté.
C'est désormais vers d'autres composantes du paysage politique que se tourne le leader des Radicaux, et notamment vers ses homologues de gauche, le PRG, dont le président Jean-Michel Baylet, mais aussi d'autres membres éminents, parmi lesquels Bernard Kouchner ou Bernard Tapie, avaient été invités. Même Jean-Pierre Chevènement avait été convié à ce dîner.
"Je veux travailler à rassembler, sur des projets, tous les républicains, tous les progressistes" a-t-il lancé à la tribune.
Seule ombre au tableau de cette volonté d'union, selon Hervé Morin, le fait que le Parti Radical n'ai pas encore brisé ses liens avec l'UMP. Cette indépendance semble aujourd'hui être le seul point qui empêche le rapprochement que l'ancien ministre de la Défense appelle de ses voeux.
Pourtant de nombreux membres de la majorité étaient aussi présents, parmi lesquels le Président du Sénat, Gérard Larcher, ou encore le conseiller de l'Elysée, Henri Guaino, et Xavier Betrand, ancien président du parti présidentiel.
Alors, y aura-t-il une fronde des anciens ministres contre Sarkozy ? Pour l'instant, Jean-Louis Borloo a préféré rester flou, sans doute en attendant la finalisation des accords avec ses futurs partenaires.
"Je ne revendique rien pour moi, j'ai simplement décidé, un nouvelle fois de m'engager dans le combat républicain, pour le progrès, la justice, l'égalité, la fraternité" s'est-il contenté de dire. Se posant toutefois en défenseur de la République dans ce qu'elle a de meilleur, l'ancien maire de Valenciennes a toutefois montré dans son discours ce qu'il considère comme les errances de la gouvernance actuelle de notre pays.
"Est-ce encore la République quand on a les écoles de riches et les écoles de pauvres ? Est-ce encore la République quand il y a tant d'écart entre les communes pauvres et les communes riches ? Est-ce encore la République quand on laisse la fiscalité aux seuls techniciens ? Je ne me résous pas au risque de déclassement de la République." Tout cela ressemble fort aux engagements d'un futur candidat, malgré tout.

jeudi 9 décembre 2010

François Bayrou reconduit à la tête du Modem


C'est du moins la prévision la plus logique que l'on puisse présenter avant le congrès du Modem qui doit se tenir ce week-end. Seul candidat à sa propre succession à la tête du mouvement qu'il a fondé, l'ancien ministre de l'Education se prépare donc à une réélection sans problème.
Ce congrès doit aussi permettre de montrer aux adhérents que le député des Pyrénées Atlantiques est le principal représentant du centre, et entend le rester, malgré les menées des alliés d'hier, Hervé Morin, et Jean-Louis Borloo.
Malgré les résultats un peu ternes de son mouvement lors des récentes élections, François Bayrou reste confiant, et assure toujours représenter la "troisième voie", face à l'alternance UMP-PS.
Il veut aussi en profiter pour montrer le nouveau chemin dans lequel il a engagé son parti dans l'optique de 2012. Terminé maintenant les oppositions contre le chef de l'Etat, le gouvernement et sa politique.
"Nous n’avons plus besoin d’établir un réquisitoire contre le pouvoir actuel. Les Français ont le bilan sous les yeux, dans leur vie de tous les jours, et ils savent maintenant ce qu’il en est" se plaît-il à dire. Et puis, au sein même de l'UMP, les ministres déçus du remaniement, et Dominique de Villepin ont bien repris ce rôle là depuis quelques semaines.
Pour l'élu de Pau, il faut maintenant proposer un vrai projet politique aux Français et aux Françaises. "Le besoin d’une proposition politique nouvelle est aujourd’hui impérieux" a-t-il annoncé à ses militants.
Ayant refusé toutes les alliances, et cultivant son indépendance, François Bayrou pourrait bien, lors de cette élection, surprendre encore ses adversaires.

mercredi 8 décembre 2010

L'A.E.I. n'existe plus !


Antoine Waechter l'a annoncé dans les colonnes du journal Le Pays. L'Alliance Ecologiste Indépendante, qui avait vu le jour lors des européennes de 2009 a cessé d'exister.
Déjà, Génération Ecologie s'en était retiré il y a de cela quelques semaines, après la décision prise par Jean-Marc Governatori de proposer à Brigitte Bardot de représenter le mouvement pour 2012, sans se concerter avec les autres membres de l'Alliance.
Il semble aujourd'hui que ce soit pour les mêmes raisons que le chef de file du MEI (Mouvement Ecologiste Indépendant) ai décidé de prendre du champs, ce qui, de fait, signe la fin de l'Alliance.
Antoine Waechter a d'ors et déjà pris contact avec Europe Ecologie-Les Verts afin de signer un accord de partenariat pour les prochaines échéances électorales.
Déjà présent lors du congrès de fusion à Lyon, il y a quelques semaines, entre Europe Ecologie et Les Verts, l'ancien candidat à la présidentielle de 1988, rejoint donc, mais en gardant son indépendance, le parti de Cécile Duflot.

Bruno Gollnisch veut y croire


Le conseiller régional de Rhône-Alpes semble confiant dans la campagne qui l'oppose à la fille du fondateur du Front National, pour la présidence de celui-ci. Il a l'espoir que les militants préfèrent son expérience plutôt que la désignation de l'héritière Le Pen.
"Les militants saluent ma constance, la fermeté de mes convictions, mon talent" disait-il hier soir lors d'un meeting dans une boîte de nuit parisienne, qui réunissait près de 300 militants.
De plus, il peut compter sur des soutiens extérieurs, comme celui de Carl Lang, le leader du Parti de la France, qui avait quitté le mouvement en 2009, et qui pourrait, dans le cas d'une victoire du député européen, rejoindre le giron du FN.
"La victoire du FN aux élections n'est possible que si le parti commence par accueillir en son sein la famille nationale tout entière" assène-t-il.
Et cette famille nationale, Bruno Gollnisch la voit très large, expliquant qu'il considère que Jean-Pierre Chevènement pourrait, s'il est élu, avoir sa place dans un gouvernement "d'ouverture".
Reste à voir ce qu'en penserait le principal intéressé.
En ouvrant grand les portes aux dissidents d'hier, Bruno Gollnisch s'oppose directement à Marine Le Pen qui représente la forme la plus pure du parti d'extrême-droite, refusant toute alliance, même avec les amis d'hier. Mais dans la compétition à la présidence du FN, chaque voix risque de compter, et Bruno Gollnisch, qui ne part pas favori, doit jouer la différence, s'il veut avoir une chance de l'emporter face à la conseillère municipale d'Hénin-Beaumont

mardi 7 décembre 2010

Calixthe Beyala annonce sa candidature


La romancière d'origine camerounaise, qui a de nombreuses fois défrayé la chronique, soit par ses prises de position, soit par les polémiques qui entourent son travail d'écriture (elle a été à de nombreuses reprises soupçonnée de plagiat), a annoncé au journal Le Parisien, qu'elle se présentait pour la prochaine présidentielle française.
Ayant toujours milité pour la reconnaissance des Noirs dans la société française, notamment par le biais du collectif "Egalité", dont elle est la porte-parole, elle souhaite faire entendre la voix de la diversité dans la campagne, mais réfute l'idée qu'on lui prêterait de faire une candidature de "Noir". Elle reproche aussi aux pouvoirs en place de ne pas prendre en compte dans leurs décisions les aspirations de la population française.
A 49 ans, elle espère bien pouvoir mener sa campagne jusqu'au bout.

Un candidat très cool


Elections 2012 : Candidature officielle de Rasta President !
envoyé par rastapresident. - L'info internationale vidéo.

Rasta Président est un jeune trentenaire, compositeur de musique reggae, qui a décidé de présenter une candidature, un peu loufoque, sans doute pour faire connaître sa musique.
Son site de campagne, très musical, et assez amusant, propose à chacun de déposer ses propres idées, dont les plus folles seulement seront gardées.
Parmi les propositions de ce candidat hors norme, celle de transformer les Pôles emploi en agences de rencontres, imposé la méditation et le yoga dans l'entreprise et les écoles quotidiennement, ou le remplacement des monnaies par une nouvelle unité : le Joint.
A première vue sympathique, ce candidat frôle toutefois avec le mouvement raëlien, et déclare même sur son site être favorable au clonage humain proposé par la secte bien connue.

lundi 6 décembre 2010

LO : Arthaud désignée comme candidate


Lutte Ouvrière a désigné officiellement ce week-end sa candidate à la présidentielle. Il s'agit, sans surprise, de sa porte-parole depuis 2008, Nathalie Arthaud.
Elle aura la charge de succéder à la charismatique porte parole du parti trotskyste, Arlette Laguiller, dans une compétition où elle devra s'imposer entre le candidat du Front de Gauche et celui du NPA.
Mais cela ne semble pas effrayer la candidate, qui annonce se poser en continuatrice du travail de celle qui l'a précédée.
Professeur agrégée d'économie et de gestion, âgée de 40 ans, Nathalie Arthaud représente donc l'avenir du mouvement.
Partis avec un score faible lors de la présidentielle 1974 (2,33 % des voix), et ayant gagné peu à peu un électorat, le mouvement d'extrême-gauche a vu lors de la dernière échéance présidentielle sa part rognée par le charisme du fondateur du NPA. Chez Lutte Ouvrière, on espère que la tendance va s'inverser.

jeudi 2 décembre 2010

Les radicaux de gauche jouent les francs tireurs


Le Président du PRG, Jean-Michel Baylet a annoncé que les membres de son parti renonçaient à participer à la primaire socialiste, pour ne pas "se laisser entraîner dans une énième défaite présidentielle par le Parti Socialiste".
Pour lui, la primaire socialiste se borne à "une galerie de portraits de candidats, les uns derrière les autres".
"Où est passé le PS dans sa vocation à créer l'unité de la gauche et à nous mettre en ordre de bataille pour les élections présidentielles ?" s'interroge le député du Tarn et Garonne.
Considérant que de ce fait la campagne socialiste est d'ors et déjà vouée à l'échec, il préfère retirer ses troupes de ces primaires, et former, avec eux, et toutes les personnes qui le souhaitent, un Front Républicain. Celui-ci doit offrir une alternative à Nicolas Sarkozy, et est ouvert à tous, de la gauche, à la droite, en passant par le centre.
Jean-Michel Baylet aurait même déjà discuté avec le leader des radicaux de droite, Jean-Louis Borloo.
L'alternative viendra-t-elle, comme sous la IIIème République, du centre-radical ?
Rappelons que jusqu'à maintenant seul Eddie Aït s'était engagé officiellement dans la primaire socialiste. Le PRG n'a pas encore parlé de candidat, même si le nom de Bernard Tapie a été un temps évoqué.

mercredi 1 décembre 2010

Vos votes : Jean-Noël Dupuis pour la seconde fois

Comme le mois dernier, le candidat du Mouvement Pour les Handicapés semble avoir retenu votre attention, vu qu'il obtient une très large majorité (87% soit 74 voix).
Derrière, on retrouve Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen, avec deux voix chacun (2%), et ensuite Jacques Cheminade, Nicolas Dupont-Aignan, Corinne Lepage, Jean-Marc Governatori, Eva Joly, André Gérin et Gérard Schivardi avec une seule voix (1%).
Afin de changer un peu, nous vous proposerons le mois qui vient un sondage sur le sujet qui vous semble primordial dans la campagne à venir.
Alors, à vos votes !